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Nous avons tous déjà entendu parler de la légende du Triangle des Bermudes, mais que savons-nous sur ces mystérieuses disparitions ? Les Humains ne peuvent pas y répondre, nous habitants de l'Île du Cœur des Bermudes, nous le pouvons. Les pauvres voyageurs n'ont jamais pu franchir la barrière qui les séparent de notre monde. Comble de leur malheur, seuls les navires et autres objets matériels atteignent l'Île. Les voyageurs sombrant alors dans les profondes abysses de l'Océan. A l'heure d'aujourd'hui nous trouvons encore des manuscrits Humains que nous conservons soigneusement. Beaucoup de nos scientifiques se posent une même question : Avons-nous un lien de parenté avec cette espèce ? Les avis sont mitigés, certains prennent l'exemple des Mentalistes, ressemblant traits pour traits aux Humains et d'autres prennent pour exemple les Hybrides et les Nymphes ne pouvant pas descendre de la race Humaine.Lire la suite ?


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The cold never bothered me anyway ; Twelve

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MessageSujet: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptySam 3 Mai - 0:19


TWELVE LIEVEN KONSTANTINE


Informations


The cold never bothered me anyway ; Twelve  146025sytry

Sytry Cartwright – Makai Ouji : Devils & Realist

Nom : Konstantine
Prénom : Twelve Lieven
Sexe :
Âge : 17 ans
Classe : Liberté
Espèce : Nymphe
Orientation amoureuse :
Pouvoir : Le Givre – Il peut recouvrir de givre ce qu'il touche, hors êtres humains. Assez rebelle, ce pouvoir s'active parfois tout seul, dépendant des émotions de Twelve. En cas de grosses émotions (positives comme négatives) ses avant-bras se recouvrent de givre, ce qui a pour effet de le brûler. Lorsqu'il se sert de son pouvoir, il dégage une espèce de petite vague froide autour de lui.



Physique


Le physique en 10 lignes minimum. 
Twelve, qu'est-ce que c'est, au juste ? C'est quelque chose qu'on a tendance à se demander lorsqu'on le rencontre pour la première fois. Comment y faire référence ? Il ? Elle ? Il vous suffira de noter une parfaite inexistence de poitrine sur le corps de Twelve pour comprendre que c'est un « il », à moins que ce soit un « elle » très plate... ? Non non non, c'est bel et bien un « il ». Mais un « il » ma foi fort efféminé.

Mais venons en au fait. Son visage est fin, ses traits sont doux et il n'inspire que rarement le dégoût. Ses grands yeux bleus sont sublimés par de longs cils qui n'aident en aucun cas à lui conférer un aspect plus masculin. En fait, dans l'ensemble, ou pourrait dire qu'il a les airs d'une princesse – mais pas d'un prince, ça, c'est sûr. Ses cheveux, affublés d'une teinte variant entre le bleu ciel et le violet, sont courts à l'arrière tandis que deux mèches bien plus longues descendent de chaque côtés de son visage. Il tient à garder la longueur de ces deux mèches notamment car cela lui permet de pouvoir les tresser et les attacher comme une « couronne » sur le haut de son crâne.  

Il est assez grand, sans être une perche, et possède une allure élancée. Autant dire qu'il s'entretient, bien que son côté de grand sportif ne saute pas forcément aux yeux dès le premier coup d'oeil. A vrai dire, il fait en sorte de ne pas finir trop « musculeux » par peur de perdre son apparence féminine. Parce que oui, ressembler à une fille, c'est très important pour lui. C'est vrai qu'en général, les garçons essaient toujours de passer pour des êtres virils et purement masculins, mais cela échappe totalement à Twelve, qui a même une sorte de haine (jaloux?) envers les personnes de ce genre. Lui, il aime semer le trouble dans la tête des gens qui ne savent pas vraiment dire ce qu'il est. Pourquoi ?

Parce qu'un des "passe-temps" de Twelve est de se travestir. Passe-temps entre guillemets car plus qu'un passe-temps, il fait cela tous les jours (à peu de choses près). Oui. Même en cours. Les vêtements féminins lui vont bien, mieux que les vêtement masculins qui souvent dépareillent avec son apparence de "jeune fille". Ainsi, on peut arriver à cette conclusion : sa garde robe est assez... vaste. Avec des vêtements en tout genre, robes comme chemises, sans oublier ses fidèles survêtements, pour le sport  – et en précisant juste qu'en général, il n'est pas très fana des jupes. Cependant, il se peut que, si vous avez un jour l'honneur de jeter un œil à ses placards, vous remarquiez qu'il ne porte que des couleurs froides. Et surtout, SURTOUT, vous ne verrez jamais de jaune sur ses habits (ni nulle part ailleurs, d'ailleurs). Autrement, il est bon de remarquer qu'il porte toujours des manches et quoi que ce soit d'autre qui puisse cacher ses avant-bras, ces derniers étant pleins de cicatrices dues aux "débordements" de son pouvoir.

 

Caractère


Résumer une personne avec des mots n'est pas tâche facile, en particulier lorsqu'il s'agit d'un être à la psychologie légèrement bancale, comme il en est le cas pour Twelve par exemple. En réalité, malgré que celui puisse échapper au premier regard, ce garçon est éteint d'un grave complexe d'infériorité et d'un espèce de trouble de la personnalité, ce dernier étant probablement lié à un événement (ou une suite d’événements ?) subvenu antérieurement dans sa jeunesse.

Pour être plus précis, il se déteste en tant que garçon, et c'est la raison pour laquelle il s'habille et se comporte comme une fille dès que cela lui est possible. Il en est arrivé au point où il préfère qu'on ignore totalement qu'il soit un homme et que l'on soit persuadé qu'il soit une femme. Cela lui semble « plus simple », sans parler du fait qu'il ne supporte pas l'éternelle question « mais pourquoi tu fais ça ? », alors évidemment, mieux vaut que la vérité ne soit jamais dévoilée. Enfin, il serait encore plus simple de s'afficher comme un gars dès le début, mais bon, que voulez vous, il est parfois difficile de tenir tête à ses démons.

Pour ce qui en est de son complexe d'infériorité, on peut dire que « tout est lié ». Il n'a jamais été valorisé par qui que ce soit, plutôt même au contraire, et au bout d'un moment le peu d'estime qu'il avait de lui-même a fini par disparaître, engloutie par le reste. Il n'a jamais été le plus intelligent, il n'a jamais eu un don fantastique que ce soit en musique ou en dessin, la seule chose qu'il avait de « plus », c'est qu'il courrait vite. « C'est bien, tu feras un bon voleur. » que lui disait sa mère, toute dédaigneuse qu'elle était. En réalité, ce qu'on a toujours reproché à Twelve, c'était platonique normalité. Et cette platonique normalité est devenue les poids qui l'entraînent au fond de l'océan.

C'est alors qu'il a tendance à passer pour un antisocial, car il « déteste » tout ceux qui réussissent mieux que lui. Par « détester », j'entends qu'il les envie, mais que même s'il avait été capable de ces mêmes résultats, il ne les aurait jamais atteint car il ne s'en serait jamais donné la peine. Et il devient agressif à chaque fois qu'une personne expose sa réussite aux autres, même si cela n'était pas parti de mauvaises intentions. C'est juste que le garçon à toujours l'impression qu'en agissant ainsi, les autres cherchent simplement à lui rappeler à quel point lui, Twelve, ne sert à rien.

A part quand il court. C'est le seul moment où il sait qu'il est capable de quelque chose, peut-être même qu'il est meilleur (c'est un gros peut-être, n'est-ce pas). C'est juste qu'il aime faire du sport. Parce que ça le défoule, niveau « décompresseur », le sport marche aussi bien que le hurlement subit dans une pièce. Et quand il s'y met, Twelve à du mal à s'arrêter – oui, c'est parce qu'il a besoin de beaucoup se défouler, vous voyez... ou alors juste parce qu'il apprécie vraiment ça. Allez savoir.

Il vit une relation conflictuelle avec son pouvoir, qui lui meurtri les bras et qui fait parti de ces choses qu'il n'aime pas chez lui. Ca s'active tout le temps, sans raison, n'importe où, et ça l'énerve. Ca arrive même à le rendre anxieux de toucher quoi que ce soit de crainte de le geler. Et puis le fait que ce soit du givre, de la glace, du froid. Qui aime le froid ? Surtout ce froid là, ce froid qui brûle plus que le feu. C'est comme si Twelve avait été affublé d'une malédiction lorsqu'il fût né porteur d'un tel don. Ainsi évite-t-il au maximum de s'en servir, essayant parfois même de se faire passer pour « un cas à part de personne née sans pouvoir ». Mais ce genre de mensonge prend rarement.

En temps normal, c'est quelqu'un de bienveillant et de gentil, le genre « Je serai toujours là pour mes amis » et tout le tralala. Le problème, c'est que des amis, il n'en a pas, et que les gens, il a tendance à les faire fuir à cause de son agressivité. Oui, Twelve est une bouteille d'acide ambulante. On peut pas lui parler sans qu'il s'imagine on-ne-sait-trop-quoi de malveillant venant de la part de son interlocuteur. Il est donc constamment sur la défensive, et comme la meilleure défense est l'attaque... eh bien il devient un rottweiler enragé et à tendance à ne pas avoir l'air du tout sympathique. Mais alors PAS DU TOUT. (C'est limite être schizophrène, à ce niveau, mine de rien)

Mais il réagit surtout comme cela en face des hommes. Twelve à étonnement beaucoup moins de mal avec les femmes qu'avec les hommes. C'est un peu comme s'il avait peur d'eux. C'est même certainement cela. On ira pas jusqu'à dire qu'il a la phobie de la gente masculine (ce qui serait ma foi fort embêtant), mais il a du mal, beaucoup de mal. Peut-être parce qu'il trouve étrange d'être ainsi attiré physiquement par eux, ou peut-être parce qu'il n'aime pas faire partie de cette « gente », ou peut-être bien d'autres possibilités encore. Les filles, quant à elles, auront beaucoup plus de facilité à atteindre la personnalité plus douce de Twelve dans un temps plus court.

Il suffit de le faire rire, et vous l'avez dans la poche. Littéralement. S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas lui enlever, c'est qu'il a le sens de l'humour, et il adore rire. Humour noir, humour blanc, il s'en contre-fou, tant que ça le fait rire. Et il aime faire rire les autres aussi, finalement peut-être devrait-il chercher à se diriger vers une carrière de comique... il aurait peut-être sa chance. Le pire, c'est qu'il a un rire communicatif.

Enfin, à partir de là, vous aurez probablement la chance de pouvoir partir dans diverses discussions avec lui et, après un certain temps, pouvoir dire avec un certain aplomb qu'il est un de vos ami. Bah oui, de toute façon, il est pas bien méchant en vrai, alors c'est pas bien compliqué de devenir son copain. Enfin si, ça l'est un peu... mais bref.

Cependant, il ne faut pas s'attendre à de grandes discussions métaphysiques sur la vie, l'univers et le reste, parce que c'est le genre de truc qui l'ennuie plus qu'autre chose. Il n'aime pas les sciences, ni tous les trucs où il faut réfléchir... autant dire que c'est pas souvent non plus qu'on le verra avec le nez dans un bouquin. Lui, il a besoin d'action, faut que ça bouge, et les livres... bah c'est jamais que de l'encre noire sur du papier blanc.

C'est donc quelqu'un de très impatient. Même attendre cinq minutes pour que son manger soit chaud après l'avoir passé au micro-onde relève du calvaire pour lui (oui, j'exagère un peu). Il aime que les choses soient faites vite, même si cela veut dire qu'elles seront mal faites. Il s'en fou, tant qu'elles sont faites, hein.

Et avec tout ça, il a une véritable aversion pour la couleur jaune. C'est physique, il ne supporte pas cette couleur. Il la trouve agressive pour les yeux et il est persuadé qu'elle abîme la peau (n'est-ce pas) parce qu' « on ne peut pas être aussi violent pour la rétine sans être corrosif pour l'épiderme, c'est tout ».



Histoire


Twelve est né sur le bord d'une route. Cela ne peut sembler n'être qu'un détail, mais puisqu'il faut commencer quelque part, autant commencer par le commencement. Une route, donc. Pas directement sur le bitume, ni sur un trottoir, encore moins dans une demi-cambrousse qui longerait ladite route. Non, il est né sur la banquette arrière de la voiture de ses parents, alors que ceux-ci avaient échoué à rejoindre un hôpital à temps. Les routes étaient impraticables ce soir-là, faute à la neige qui recouvrait tout, au vent violent qui la répartissait en bourrasques et au verglas qui semblait se former sur chaque portion de route que l'on aurait pu croire épargnée par le manteau blanc. Ainsi étaient les conditions dans lesquelles Twelve a vu le jour, qui engendrèrent par ailleurs un certain folklore au sein de sa famille. Ceux-ci croyaient que le pouvoir avec lequel il était né était lié à l'air glacial qui avait dur remplir ses poumons au moment même où il prenait sa première inspiration.

Les parents Konstantine étaient des artistes. Ou un truc dans le genre. Des gens étranges, qui vivaient dans une maison perdue en pleine campagne et dont la ville la plus proche était à quarante cinq minutes. Ah, pardonnez moi, j'ai dit ville ? J'aurais dû dire hameau, petit village où il y avait plus de chèvres que d'habitants et où le cimetière était plus peuplé que les maisons. Enfin, j'imagine que vous voyez le genre. Ils aimaient l'isolement et voyaient les villes comme des nuisances à tous les égards. Jamais, au grand jamais ne devraient-ils exposer leurs enfants à cela. Alors ils vivaient dans leur campagne, dans une grande et vieille maison et malgré qu'ils furent loin de tout, il ne manquèrent jamais de rien.

Twelve était le plus jeune de trois enfants, les deux autres étant des filles. Et Twelve était leur poupée. Mais pas que la leur, celle de leur père aussi. Oui, le père s'improvisait souvent apprenti-styliste et aimait tester ses création sur ses enfants. Sauf qu'il était incapable de créer des vêtements pour homme et qu'il finissait toujours par faire enfiler une robe à Twelve. Et c'est probablement ainsi que tout à commencé. Les enfants n'allaient pas à l'école, c'était des professeurs qui venaient à domicile pour leur dispenser des cours – oui, j'ai oublié de préciser que c'était une famille fortunée. Bref, tout cela pour en venir à dire que ses sœurs étaient ses meilleures amies -et ses seules, surtout- et qu'il les a rapidement prises comme « modèles » pour tout ce qu'il faisait. Et c'est à peu près vers ses neuf ans, après de longues années passées avec des parents qui se contre-foutaient de tout et des sœurs qui se servaient et s'occupaient de lui comme d'une poupée fragile qu'il finissait par se demander pourquoi il était un garçon, et qu'il commençait à regretter d'être né « petit frère » et non pas « petite soeur ».

L'année de ses dix ans marqua un brutal tournant dans la vie de cette famille. Un matin, des Hommes en uniformes étaient venus les réveiller en tambourinant avec violence contre la porte. Des flics. Les parents, apparemment déjà préparés à pareille éventualité, avaient demandé aux gamins de rester dans leur chambre et de n'en sortir que lorsque l'on leur demandera. Ils étaient alors tous les trois restés dans leur chambre respective, essayant d’apercevoir quelque chose par la fenêtre mais se rendant vite à l'évidence qu'ils ne verraient rien. Alors ils attendirent. Twelve avait pris un livre qu'il avait feuilleté le temps de cette longue attente.

Et puis finalement,  quelqu'un poussa sa porte. Un flic se tenait dans l'encadrement, les sœurs de Twelve derrière lui. Et le flic les embarquèrent tous les trois et les confièrent à leurs grand-parents, qu'ils n'avaient jamais vu avant ce jour. Ce n'est que trois ans après que Twelve su la raison pour laquelle ils avaient été séparés de leurs parents ; ces derniers traînaient apparemment dans des trafics pas très clairs et étaient recherchés depuis un moment. C'était sûrement la raison pour laquelle ils s'étaient ainsi isolés et probablement aussi que leurs revenus venaient de là. Twelve ne voulu jamais revoir ses parents, bien que ses sœurs leur rendaient visite régulièrement et qu'elles aient essayé un bon nombre de fois de le traîner avec elles. Rien n'y faisait.

Bref. Les grand-parents étaient âgés, certes, mais étaient des personnes attentionnées et qui voulaient offrir le meilleur à leurs malheureux petits enfants. Autant dire que l'ambiance à la maison avait changé, comparé au temps où ils vivaient reclus et où des professeurs faisaient tous les jours la route pour leur enseigner diverses choses que Twelve oubliait dès qu'il les avaient entendues. Oh, oui, tout changea. Ils vivaient maintenant en ville, et ils allaient maintenant rejoindre une véritable école.

Et rien de cela ne fût simple. En tout cas pour Twelve. Ses sœurs s'étaient de suite intégrées, et la ville était devenue leur territoire tellement rapidement qu'on les aurait cru nées là-dedans. L'écart se creusait entre Twelve et ses sœurs, et il en pâtissait. Il ramait en cours encore plus qu'à son habitude, et ses moyennes monstrueuses couplées à son apparence qui ne « collait pas » avec les mœurs des élèves de sa classe lui valaient de se faire taper dessus presque tous les jours. Au fond, il vivait encore plus reclus maintenant qu'il était en ville qu'avant, alors qu'il vivait avec pour seuls voisins des oiseaux et des roseaux.

Il avait malgré tout réussi à cacher tout cela à sa famille et il continuait à vivre comme si de rien n'était, s'enfonçant jour après jour un peu plus dans son obsession pour sa « féminité ». Ainsi, les jours où il était une adolescente devinrent plus courant que les jours où il était un adolescent. Bien que cela aurait semblé grave à la plupart des tuteurs, les grand-parents de Twelve le laissaient faire, sachant que ça ne lui ferait aucun bien de se retrouver devant un psy ou quoi que ce soit.

Et ainsi il continua à grandir. Avec le temps, brimades et autres cessèrent peu à peu, mais Twelve s'était déjà enfermé dans la coquille qui le recouvre toujours. Fine, certes, mais bel et bien présente. Ce n'est pas comme s'il s'était passé grand chose par la suite. Il a juste continué, petit à petit, à devenir ce qu'il est aujourd'hui.

Et Xényla, dans tout ça ? Oh, ce ne fût que son petit caprice. Un an avant d'intégrer l'école, il avait découvert ce lycée et, dès lors qu'il apprit qu'il y avait une classe axée sur le sport, il avait enquiquiné ses grand-parents jusqu'à ce qu'ils cèdent et l'y inscrivent. A vrai dire, il avait aussi besoin d'un bon changement d'air, et il avait penser que changer de ville serait la meilleure façon de pouvoir profiter d'une nouvelle atmosphère. Et une fois toutes ses robes bien rangées dans des valises, c'était par le train qu'il avait rejoint le lycée Xényla.

Ca allait être fun, il le sentait.



Vous ...


Votre prénom : Shiza. Mais je vous donne le droit de m'appeler Sha =u= /poutre/
Votre âge : Je suis presque adulte, mes enfants.
Sexe : Autre.
Comment as-tu connu notre forum ? : Je suis le DC de Sanjeev, vi.
Le code ? : [Validé par Banane ♥]



code by Jess
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptySam 3 Mai - 0:23

Re bienvenuuuuue !
*En extase devant l'androgynité de l'avatar *O* *
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptySam 3 Mai - 10:39

Re bienvendu ! :D
J'étais tombée sur lui quand je faisais mes recherches pour un nouveau perso ! :o Il est trop classe ! :D
The Triangle
The Triangle
PNJ
Messages : 585
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptyMar 6 Mai - 17:46

Rebienvenue ! J'adore ton vava <3
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptyJeu 8 Mai - 10:38

Oui re bienvenue ! Je suis d'accord avec tous ces avis :)
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptySam 10 Mai - 9:37

Eh bien, merci tout le monde 8D
Juste pour dire, je suis désolée du temps que ça prend, je pensais finir ce week-end.. mais j'avais oublié que j'avais un big truc prévu. Enfin bref, j'essaie de faire ça au plus vite ><
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptyDim 1 Juin - 3:28


Petit DP pour dire que ma fiche est enfin terminée !
Désolée pour les fautes qui doivent rester par-ci par-là, j'ai fais au mieux, mais vu l'heure, mon cerveau dort déjà à moitié =u=
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  EmptyDim 1 Juin - 12:23

Super ! *Une bonne grosse fiche que j'ai pas le courage de lire maintenant, mais t'façon on te fait confiance hein xD*

Je déplace le sujet ^^
Anonymous
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MessageSujet: Re: The cold never bothered me anyway ; Twelve The cold never bothered me anyway ; Twelve  Empty

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