 Sujet: Akuma C. Inunoshi, la mort toque à ta porte Dim 1 Sep - 2:09 | |
| Informations
© Kutani Ryou - Hiiro no Kakera, série
| Nom : Inunoshi
Prénom : Akuma Caleb
Sexe : ♂
Âge : 17 ans
Classe : Passion
Espèce : Hybride de Dhole [ Le Dhole est un chien sauvage d'Asie ]
Orientation amoureuse : ♂ & ♀
Pouvoir :
« Vous connaissez sûrement ce bon Anubis, ce dieu qui guide les morts et leurs offre une protection éternelle... Et je vous propose de découvrir un aspect de ce dieu qui n'a jamais été conté, suite à de nombreuses recherches sur des cadavres humains avec une tête de chien, mon équipe et moi-même avons découvert qu'une part de lui-même est sombre comme un ciel d'orage. Anubis habitué à avoir des âmes errantes à guider trouve que leurs nombres s'affaiblit considérablement. Ainsi, pour remédier à cela. Le dieu égyptien a créer une lignée de monstres destructeurs, les chiens de la mort, aux environs de leurs 8 ans, il les obliges à conclure un pacte avec lui si l'un de leurs parents est lui même un de ces monstres assoiffés du crime et du sang. En général les chiens de la mort sont de sexe masculin, mais nous avons put trouver de tels monstre de sexe féminin. »
Rapport de Sheyla, chercheuse dans le paranormal et la mythologie, 1985.
Un jour, Akuma conclut ce pacte avec Anubis, ainsi le dieu lui promis une infime partie de sa force, lui permettant se transformer en canidé, mais pas selon sa volonté, la puissance d'un dieu que l'on maîtrise comme on veut, cela serait trop facile, non Anubis, c'est lui qui le contrôle, le jeune homme n'est qu'un pantin, et parfois, très rarement cependant, il prend une forme semi-animale, devenant un monstre sans discernement. Beaucoup l'on surnommé "Le Chien de la Mort", ce qu'il était vraiment. Alors il quitta sa ville natale pour le Lycée en espérant pouvoir reprendre le dessus sur l'entité qui jouait avec lui s'amusant avec ses êtres chers. Néanmoins, Anubis ne tue jamais personne, à moins que le jeune homme veuille à tout prix l'éliminer, là il tuera la personne en question, ou tout du moins il essaiera, seulement, le jour le jeune homme aura un ennemi n'est pas né.
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Caractère & Physique Je suis un bisounours, qui qui veut un câlin :face:\o/
Aku' n'est pas méchant, loin de là, même si ça ne paraît pas, c'est une véritable peluche vivante. Il ferait pas de mal à une mouche, sauf si vous faite une chose irréparable. Il n'y en a qu'une à ses yeux. Tuer un de ses proches. Je crois que c'est la seule façon de mettre ce chien en colère... Pourtant l'expression de son visage toujours froide, distante et renfermée pourrait faire penser le contraire. En y regardant de plus près, il a pas une tête de gentil. Akuma, il aime bien être tranquille. Surtout tout seul, mais non, tout seul c'est pas comme tranquille, on peut être tranquille avec du monde autour, Akuma, il faut qu'il soit strictement tout seul pour être tranquille. Avec quelqu'un le jeune homme est toujours tendu, s'il est comme ça c'est parce que pour lui ça évite de mettre les autres en danger. Vu qu'il ne contrôle pas son don, Anubis peut l'obliger à faire du mal à un ami.
Caleb a une peur atroce des contacts. Lorsque quelqu'un l'effleure, cela laisse une brèche à Anubis et en général, Anubis, il en profite pour semer le trouble. Akuma n'est pas bien après une transe, pendant qu'Anubis prend le contrôle, Aku' lui le combat, il essaie de reprendre le contrôle ayant de faire du mal. Parfois il est trop tard et du coup la personne le fuit. Il tolère plutôt bien les insultes et autres rabaissements, ce qu'il n'aime pas c'est qu'on le prenne pour un chien à proprement parler, c'est-à-dire qu'on lui dise, assis, couché, debout, faits le beau, donnes la patte... Nan mais sérieusement ? Vous avez pas fini de rire è_é ? Même si Caleb est blessé par des moqueries de ce style il n'en paraît rien, en général il se lâche enfermé dans la salle de bain par exemple, voir dans les toilettes ou dans la chambre quand y a pas ses colocs.
Akuma n'est pas du genre à aller pleurer sur l'épaule de quelqu'un, c'est même plutôt l'inverse, il incite les gens à lâcher tout ce qu'ils ont sur le cœur. Lui il les écoutera, ainsi le jeune homme partage les douloureux secrets pour alléger l'âme des lycéens en peine. Aku' se revoit parfois dans certaines bribes du passé de certains. Le jeune homme reste neutre, bien que souvent dans ces moments là il ait les yeux dans le vague, les images du passé emplissant sa tête et éveillant ses sens. Il aimerait au fond de lui partager lui aussi son lourd passé avec quelqu'un... Seulement... Qui pourrait supporter le récit d'Akuma ? Si le jeune homme vous racontait son passé, alors il prendrait une voix traînante loin de son timbre joyeux et plein de vie habituel pour vous faire vivre certains instant, les effluves à ses narines -ou à sa truffe-, il a une capacité à tout retenir tellement aiguisée que chaque détail, il s'en souvient.
« C'est intéressant d'écouter les autres vous savez »extrait du journal intime de Caleb, 15 Août 2008 | Je suis comme je suis.
Caleb est plutôt grand et d'une corpulence moyenne. Des yeux rouges sang, des cheveux blancs aux reflets gris-vert, des lèvres fines, une peau diaphane et satinée, un visage aux traits masculins doux. Il a tout d'un jeune homme attrayant, mais son expression, un visage froid et fermé, cette façon de vous éviter, pour vous tenir loin de lui, paraître mauvais est devenu un mode de vie. Il ne veut pas s'accrocher à quelqu'un de peur de faire du mal, alors tout ses muscles tendus, il vous repousse sans un mot, dans sa façon d'être, seulement, certains et certaines sont attirés par ça, à son grand désespoir.
Assez musclé, il s'entraîne tout les jours pour garder la forme, même si ce n'est pas un grand sportif, il passe des journées entière en débardeur et jean à la bibliothèque, il adore les livres. Il aime s'habiller assez décontracté. Pas souvent en costard cravate, mais il lui arrive de temps en temps quand il va se promener en ville par exemple de revêtir un ensemble parfaitement repassé, fin quand ça le prend, la plupart du temps il a une veste, un T-shirt, un caleçon et un pantalon, accessoirement chaussettes et chaussures. Deux chaînes gris argent pendent à son cou, au bout de l'une un rectangle de la même couleur avec gravé dessus son nom d'une fine calligraphie. Pour l'autre c'est une pierre noire comme les ténèbres. Cette pierre lui a été donnée lors de son voyage, sois-disant taillée dans la pierre de lune, elle l'aide à contenir cette malédiction qui vit en lui, fin c'est ce que le vieillard disait...
Lorsqu'Anubis prend le contrôle, Akuma a les yeux dorés sur fond rouge et des marques pourpres sur le visage, la main droite et dans le dos.
Sous sa forme canine. Caleb est majestueusement mignon. Mais il ne faut pas se fier aux apparences hein. Ses prunelles sont dorées et attirent le regard, mais sa voix est plus rauque; plus profonde Ses deux prunelles dorées sont cernées rouge au lieu du noir habituel. Lorsqu'il est comme cela, c'est très rarement de son plein grès. Le chien ressemble à un loup, mais en plus fin plus court sur patte, le pelage brun-roux aux reflets noirâtre et blanc sur le poitrail, des griffes noires comme une nuit sans lune. Il cherche généralement à vous blessez physiquement et vous fou facilement les jetons, car pour faire court c'est le grand -ou plutôt petit- méchant loup. |
Histoire Remontons en arrière, relisons le petit cahier noirci par l'encre du passé...
Tu te diriges vers ton bureau à pas de loup, sans faire craquer les lattes du plancher, tu tires doucement ta chaise en bois, tu allumes ta petite lampe et glisses tes doigts sur la couverture couleur saphir soigneusement refermée par un ruban couleur lavande noué autour du précieux stylo que tu aime tant, celui que tu as eu aujourd'hui. Tu dénoues lentement la boucle du ruban et le fait glisser, tu prends ton stylo, tu ouvres le journal, tournes quelques pages puis ouvres le roller à encre avec un petit « clic » discret, tu te mets à noircir des pages avec application.
5 Novembre 2004
Cher Journal,
J'ai 8 ans, je viens de les avoir et mon cadeau cette année c'est toi. J'aime beaucoup écrire, la perspective de ne plus écrire sur des bouts de papiers ou des feuilles volantes est tellement intéressante. Je devrais être couché là, mais je mourrais d'envie de te remplir, juste quelques pages. Cette journée a été comme un rêve, j'ai même eu un joli stylo de la part de mamie, il est arc-en-ciel avec des petits oiseaux noirs dessus. Je l'aime beaucoup, mais ce soir j'ai peur. Je veux pas aller dormir... Le vilain monsieur à tête de chien va encore venir m'embêter, j'en suis sûr ! Cela fait deux jour qu'il apparaît alors que je rêve que je suis un chien brun-noir qui court sans relâche vers le soleil couchant. Je suis pas heureux dans ce rêve, je cours jusqu'au crépuscule sanglant, je suis fatigué, comme si j'allais cracher mes poumons... Je voudrais tomber, mais... Mais je peux pas m'arrêter de courir, c'est parce qu'il est derrière moi ! Il me traque ! J'ai si peur ! Je voudrais qu'il me laisse, il me chuchote à l'oreille, mais je ne comprends pas ce qu'il dit. J'ai essayé d'en parler à maman, mais elle s'en fiche, je l'ai entendue ce matin quand je me suis levé plus tôt que d'habitude alors qu'elle était levée depuis l'aube en compagnie de papa « Tu sais mon chéri, ton fils à une imagination débordante. Il m'a parlé d'un rêve qui lui faisait peur depuis plusieurs jours. » Sur ce elle s'est mise à rire, je sentais que mon père regardait dans ma direction en riant. Je ne sais pas comment mais il savait que j'étais là, papa avait un regard bizarre, comme animal...
-Akuma Caleb Inunoshi ! Vas te coucher immédiatement.
La voix qui tonnait ainsi était en faite un chuchotis sec et « puissant » si j’ose dire :
-Mais papa.. Je... J'avais besoin d'écrire...
Tu finis par te résigner devant le regard dur de ton père, tu refermes ton journal soigneusement et le ranges dans ton tiroir que tu fermes à clé. Tu glisses la clé autour de la chaînette de ton cou et t'allonges ton père ferme la porte :
-Écoutes-moi bien mon fils.
-Oui Papa, je t'écoutes... Mais ne me sermonnes pas, j'avais vraiment besoin d'écrire...
-Non mon fils, ce n'est pas ça. Sais-tu ce que veux dire ton nom de famille ?
-Inunoshi ? Il me semble que cela signifie « Chien de la mort » d'après ce que j'ai entendu.
-C'est cela.
-Pourquoi portons-nous un nom comme ça papa ? Et pourquoi m'en parles-tu ce soir ?
-Je vais te montrer.
Ce que te montras ton père ce soir là, tu ne t'en remettrais jamais, la balafre qui griffait tout ton petit dos purulente et suintante te le rappelleras toujours. Ton père t'as consigné dans ta chambre et à chaque fois qu'il vient, il retire les compresses en s'excusant encore, te répétant qu'il ne pouvait pas arrêter, qu'il pensait avoir le contrôle. Il sent la forêt et les plantes. Les cataplasmes aux plantes qu'il applique sentent bons et soulagent la douleur quelques heures. Bizarrement, ça ne t'avais jamais frappé ces deux oreilles et cette queue touffue. Maman avait l'air elle aussi de ne pas le voir... Ou alors elle refusait de le voir. Ton géniteur s'appliquait à soigner tes plaies et t'apportais ton repas, il a prétexté que tu étais blessé -ce qui n'est pas tout à fait faux- et que c'était tellement horrible à voir que ta mère ne voulait pas monter, maman a toujours détesté le sang. Tu te lèves en chancelant et t'assois à ton bureau, ça fait trop longtemps que tu voulais écrire, la dernière fois tu t'es ramassé devant la chaise et tu as été obligé d'attendre que ton père revienne. Cette blessure qu'il t'a infligé est si profonde qu'elle te cuit le dos, tes yeux sont cernés de bleu-violet, tu bâilles, ouvres le tiroir, dénoues le ruban, ouvres ton journal et te remets à écrire après avoir tourner une page.
15 Novembre 2004
Cher Journal,
Voilà, ça fait 10 jours de plus que je dors mal, il vient, me harcèle, je comprends ce qu'il veut maintenant, il veut que je sois un chien de la mort, comme papa, son pantin, papa m'a fait du mal le 5 Novembre, quand il est entré dans ma chambre, il m'a parlé un peu puis, d'un coup, ses yeux sont passé du bleu azuré sur fond blanc à un violet sur fond noir, des marques sont apparues sur son visage et sur sa main droite... La tête d'un chien. Vous connaissez Anubis le dieu égyptien à tête de chien ? On aurait dit que c'était sa tête ! Puis il a encore changé, il est tombé à genoux son nez s'est allongé et est devenu un museau brun-noir, ses oreilles ont grandies légèrement et ses vêtements se sont déchirés sur une fourrure luisante, ses mains ont rétrécit et des griffes sombres ont remplacé ses ongles clairs. Le chien s'est jeté sur moi, j'ai eu beau crier, il s'est mis au dessus de moi en grimaçant ce qui devait être un sourire pour un chien, j'ai roulé sur le ventre entre ses pattes en cachant mon visage dans mes mains en hurlant. Puis j'ai senti. Une de ses immenses griffes à percé ma peau et entaillé la chair, j'ai hurlé, j'ai pleuré, j'avais mal, mais je pouvais pas bouger tellement il était lourd, puis j'ai entendu des mots que j'ai compris après que c'était des excuses, mon père ma pris et m'a serré contre lui, contre sa peau nue, ses vêtements déchirés jonchaient le sol, et donc il était dévêtu, j'ai senti ses larmes chaudes et à la fois froide glissant dans mes cheveux, ses paroles étouffées par des sanglots, puis je l'ai senti qu'il me couvrait alors que je m'endormais. Il a sauté par la fenêtre après avoir verrouillé la porte avant de partir en courant vers la forêt.
Il revient toute les trois heures environ, il sent bon la forêt et l'air pur, puis je le regarde attentivement préparer le cataplasme. Il prend soin de l'appliquer en douceur. J'ai tellement peur de devenir comme ça. Je veux pas devenir un chien de la mort ! Je veux rester un petit garçon normal... Si il y a des gens normaux dans ce monde...
Tu refermes ton précieux journal, tu te lèves et chancelles jusqu'à ton lit, là tu le rouvres et reprends là où tu t'étais arrêté.
Cette nuit, je ne pense pas pouvoir résister plus longtemps. Je me demande pourquoi je suis forcé de devenir comme papa... Serait-ce le fait que si papa est maudit, le « virus » m'a été transmis ? Je sais pas, j'ai si peur... Je sais c'est lâche, mais je vais devoir abandonner, je ne peux plus dormir comme ça, Anubis va avoir un pantin de plus, je serais un pantin, j'ai peur, qu'est-ce que ça fait d'être un monstre ? Vous le savez vous ? Je me demandes ce que ça fait... Nous verrons bien demain.
Tu fermes le journal et te couches le serrant contre toi, tu fermes les yeux et t'endors. Les ténèbres t'enveloppent, cette fois tu ne cours pas tu es toujours devant cet immense crépuscule sanglant, Anubis éclate de rire se met à genoux devant toi il prend ta gueule entre ses doigts, sa voix malveillante souffle sur ton visage, tu reprends forme humaine, nu. Tu le regardes les yeux brillants de larmes, ce que tu prononças ensuite tu ne l'avais pas choisit, pas vraiment... Anubis parlait en même temps que toi puis il a attrapé un couteau et il t'as lacéré le visage et la main droite minutieusement, tu t'es mis à hurler et a te débattre pendant qu'il appliquait une solution d'un liquide pourpre sur les plaies. Puis il t'a tourné dos à lui et fait d'autres plaies dans ton dos après avoir retiré le cataplasme et de nouveau il a versé le même liquide pourpre...
Tu t'es réveillé en sueur ton père dans un coin de la chambre s'est rué sur toi et t'as pris dans ses bras, en pleurant qu'il était désolé, que c'était sa faute, tu tournes la tête vers le miroir de ton armoire, deux oreilles duveteuses, une queue touffue, des marques rougeâtres sur le visage et sur ta main droite la tête d'un chien, les larmes coulèrent sur ton visage, tu te rendormis.
8 années se sont écoulées depuis cette nuit...
18 décembre 2012
Cher Journal,
Je suis caché, il ne m'ont pas trouvé, j'ai encore blessé quelqu'un gravement, je ne sais plus quoi faire ! Pourtant comme m'a dis mon géniteur, je bois du sang d'animaux, j'ai pris dix vies et pourtant, la nuit dernière je suis encore entré dans cette transe, les habitants me baptisent le monstre de l'enfer ou le Chien de la Mort. Après tout, il n'ont pas tellement tort...
J'ai décidé quitter ma ville natale, j'ai découvert un lycée pour les gens qui ne sont pas tout à fait normaux, du coup je vais aller là-bas, on m'apprendras peut-être à me maîtriser... Hier en marchant vers ce fameux lycée, un vieillard qui possédait deux oreilles et une queue touffue semblable à la mienne m'a offert son collier, une splendide pierre noire luisante, il m'a dis que ça m'aiderait, j'ai chassé une proie pour lui en échange dont il a avidement aspiré le sang, comme moi, j'aime pas la chair animale, mais leur sang permet de nous contenir. Nous les chiens de la mort.
Je ne lâche plus cette pierre ne serait-ce qu'une seconde, elle me rassure...
Je me demande si... Si j'avais eu cette pierre il y a 7 ans... Est-ce que j'aurais été forcé de quitter ma ville natale ? Je me rappelle j'ai été obligé de commencer à me cacher et à errer...
Il faisait froid, nous étions le 19 décembre 2011, c'est le pire acte que j'ai commis par rapport à mes précédant méfaits, des blessures sans conséquences, j'ai tenté de séduire une femme, juste pour prendre un peu de bon temps et oublier mes tourments, juste pour m'amuser, j'étais très renseigné pour mon âge de ce côté là, fin à 15 ans vous m'direz, c'est presque normal. La jeune femme à hurlé, elle était plus vieille que moi, mais plutôt petite j'arrivais aisément à sa taille, je m'amusais à la forcer comme ça, la peloter contre son grès, c'était, si plaisant... Malheureusement, ce qui n'était qu'un petit jeu c'est changé en drame. Elle m'a giflé en me criant d'aller en enfer. Je me suis mis à rire sadiquement pendant qu'Anubis prenait mon corps en lui susurrant d'une voix maléfique « Et si je t'emmenais avec moi poupée ? » Je me suis approché d'elle, au bout de mes doigts, des griffes luisantes, je lui ai arraché ses vêtements, non pas avec les intentions perverses qui m'avaient poussée à ce petit jeu, je l'ai dénudée avec une autre attention. Je l'ai jetée à terre comme on jette une poupée qui ne nous plaît plus, elle a crié en s'écrasant contre le goudron, mais nous étions dans des quartiers abandonnés, pas de chance pour elle. En s'écrasant au sol sont corps à ripé sur le goudron et a déchiré sa peau laiteuse. Un grand sourire à fendu mon visage, je voulais la tuer, mais pas trop vite, non je voulais jouer avec...
Je me suis mis à califourchon sur elle après l'avoir vivement allongée sur le dos, ainsi nue, l'envie de tester quelques théories m'a bêtement arraché un sourire. Je lui ai enfoncé une griffe dans la poitrine en espérant que ça se dégonfle comme un ballon. Je retire ma griffe pendant qu'elle se met à gigoter, je trace des sillons sanglants sur sa poitrine, je me penche et lèche le liquide à l'odeur métallique, je me régales de ce sang divinement bon en faite... C'est pas aussi mauvais que ça en a l'air... Oui je ne suis pas un vampire, mais j'y ressemble après tout... Le sang qu'il soit animal ou humain est délicieux, mais si je m'en régale ce n'est pas pour me nourrir, nan si je m'en régale c'est pour reprendre le contrôle. Anubis avait déjà dû capter cette pensée car l'instant d'après j'étais devenu cette arme de destruction qu'est le chien d'Anubis, mes vêtements se sont déchirés et je me suis transformé à une vitesse phénoménale, mais moi je ne pouvais pas l'en empêcher, j'étais simple spectateur de ma démence. J'ai commencé à arracher des lambeaux de peau et les jeter sur le côté, j'ai déchiré la peau laiteuse de son corps aux courbes généreuse, j'ai lécher le sang sur chacune de ses courbes en me régalant du goût qui me montait à la tête et faisait trembler chacun de mes muscles d'excitation, puis je lui ai froidement sauté à la gorge, mais je l'ai pas achevée non pas tout de suite, je l'ai mordillée pour ouvrir des plaies ici aussi, elle se tord de douleur, elle n'est pas encore décédé, tant mieux je peux encore m'amuser un peu.
Je recule contemple mon œuvre les babines dégoulinantes du sang de ma triste victime. Je me suis lentement approché d'elle, je lui ai attrapé le mollet et appuyant ma patte sur sa cuisse j'ai donné des à-coups vers le haut jusqu'à entendre un « Crac » sonore qui prouvait que le genoux avait cédé. J'ai fait pareil avec l'autre jambe, me régalant de ses cris de douleur et ses pleurs suppliants. Malheureusement, elle avait beau pleurer, crier, supplier, tout cela n'est qu'une agréable musique à mes oreilles, je lui marche négligemment de dessus et emprisonne un de ses avant-bras dans ma mâchoire que je casse d'un cou sec, je fais de même avec l'autre bras, à ce moment-là, j'étais sûr de pouvoir m'attaquer à la partie la plus amusante. Je lui ai lentement enfoncé ma griffe dans l’œil pendant qu'elle hurlait tout ce qu'elle savait, le liquide qu'il contient m'a giclé dessus, c'était amusant cette chose suintante de sang, j'ai fait la même chose avec l'autre œil puis je lui ai cassé le nez d'un coup de crocs, le lui arrachant presque. Et malheureusement. Il était temps de mettre un terme à mon amusement... J'ai attrapé sa tignasse blond doré j'ai soulevé sa tête lentement lui arrachant un cri en tirant sur ses mèches blondes et j'ai levé encore un peu plus haut, puis d'un coup sec j'ai dirigé sa tête vers le sol, j'ai recommencé jusqu'à entendre un « Crac » très sonore qu'à émit crâne en cédant, le sang m'a giclé dessus, c'était plaisant.
Soudainement, j'ai été aveuglé, un véhicule braquait ses phares sur ma silhouette rousse et blanchâtre tachée de pourpre, mes prunelles dorées cernées de rouge aveuglées par cette clarté si soudaine, un coup de feu a retentit, j'ai lâché la chevelure de la fille et j'ai regardé la voiture attentivement, une balle qui avait l'odeur de l'argent chaud à sifflé à côté de moi. Je me suis immédiatement détourné et je me suis enfuit.
Quelques minutes après l'odeur du feu m'a pris à la gorge, j'étais encore un chien, et la grange où je m'étais réfugié avais dû être repérée par la trace de sang que j'ai laissé à cause de mes babines et de mon poil pleins du liquide rougeâtre, une balle a sifflé et est allée tout droit se ficher dans la cuisse sans ressortir de l'autre côté. Ma cuisse me lançait douloureusement, mais je me suis enfui quand même à travers les flemmes le pelage plus sombre que jamais en étant maculé par la suie. Je m'étais bien amusé, mais j'en payais à présent le prix fort, je réussis finalement à leur échapper dans la forêt qu'ils n'eurent pas l'audace de brûler.
Tu as refermé ton cahier en te mettant à rire bêtement, c'était amusant quand on y pense. Tu as 16 ans, et tu fuis, mais tu t'es accordé une pause pour écrire ça, d'ailleurs, il est temps de se remettre à marcher, tu as écris toute la nuit lentement en prenant soin de bien former chaque lettre. Cela fait du bien de laisser une trace de ce jour. Tu as disons, un poids en moins sur le cœur, tu partages tout tes secrets avec ce journal, tu y tiens tant, et le stylo de mamie ! La réserve de cartouches, tout ça tu y tiens, car c'est tout ce qui te restes de ton chez toi. Tu reprends ta route en glissant le sac à dos sur ton épaule ayant soigneusement rangé tes quelques petites affaires. Tu te diriges lentement vers le fameux lycée.
Au terme de deux longs mois que te parurent aussi long qu'une année de marche, de vols pour subsister, de nuits à la belle étoile et tout ce qui va avec, tu arrives aux portes de lycée. Tu pousses la grille en fer forgé qui grince sinistrement. Celle-ci claque sur un silence mort, tu marches tranquillement, serein. Tu te diriges vers le bureau d'inscription et expliques ton cas sans rien dévoiler de compromettant, en demandant juste d'obtenir un enseignement pour apprendre à maîtriser cette malédiction. Maîtriser, le Pacte d'Anubis... Seulement, tu as changé. Alors tu es prêt à ne te mettre en colère que si l'un de tes proches, c'est la seule chose que tu estimes ne pas pouvoir pardonner.
Ta première année à été extrêmement difficile, trop de personnes et de victimes potentielles, tu faisais en sorte de jamais craquer, écrivant sur ton journal juste deux mots qui couvrait la page au fil des jours :
« J'ai peur... »
Le démon est lâché... Cachez-vous sous vos couettes, Anubis rode au cœur de Mr. Peluche. |
Vous ...
Votre prénom : Tu le sauras pas:face: apelle moi Nyx, ça suffira amplement, ou pas mon PUF complet, Phénixis
Votre âge : 16 ans
Sexe : ♀ tu veux vérifier peut-être ? //SBARF//
Comment as-tu connu notre forum ? : Par Shiza si j'me trompe pas .W.
Le code ? : Validé par Banane 
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