Nous avons tous déjà entendu parler de la légende du Triangle des Bermudes, mais que savons-nous sur ces mystérieuses disparitions ? Les Humains ne peuvent pas y répondre, nous habitants de l'Île du Cœur des Bermudes, nous le pouvons. Les pauvres voyageurs n'ont jamais pu franchir la barrière qui les séparent de notre monde. Comble de leur malheur, seuls les navires et autres objets matériels atteignent l'Île. Les voyageurs sombrant alors dans les profondes abysses de l'Océan. A l'heure d'aujourd'hui nous trouvons encore des manuscrits Humains que nous conservons soigneusement. Beaucoup de nos scientifiques se posent une même question : Avons-nous un lien de parenté avec cette espèce ? Les avis sont mitigés, certains prennent l'exemple des Mentalistes, ressemblant traits pour traits aux Humains et d'autres prennent pour exemple les Hybrides et les Nymphes ne pouvant pas descendre de la race Humaine.Lire la suite ?
Sujet: Un journal crasseux || Mino Dim 7 Aoû - 1:14
FLEURISTE
Alors ouais, beh c'est simple, hein. J'suis une nymphe, et à la loterie de la génétique, j'ai gagné le gros lot, parce que mon élément c'est le pétrole. Rien que ça. Quand ma nature s'est déclarée, mon apparence a commencé à changer : j'ai maintenant la chance d'avoir un joli teint de cadavre, des yeux rouges pollution, et tous mes fluides corporels - tous - sont devenus noirs et épais. Le meilleur, c'est mes cheveux qui dégoulinent de pétrole. Et tout, ça donne une douce odeur d'essence. J'a-dore.
Identité
NOM – Lugabel PRENOMS – Mino SURNOM – Mino c'est pas déjà assez court pour toi ? ÂGE – 22 ans ESPECE – Nymphe QUELQUES TRAITS DE CARACTERE – Grande gueule mais parle très mal - Facilement corruptible - Aime rire - Plutôt pessimiste - Malaimable RESIDENCE – Quartier Est TAILLE – 1m66 POIDS – 56 kg ANNIVERSAIRE – 11 novembre || Scorpion CHEVEUX – Noirs. Mais j'étais rousse, avant. YEUX – Autrefois verts. C'était le bon temps. SIGNES DISTINCTIFS – J'sais pas. J'suis une pompe à essence qui fait pousser des fleurs, on me distingue assez comme ça.
Sujet: Re: Un journal crasseux || Mino Dim 7 Aoû - 1:15
Lule Lugabel
Lule, ah, mon Lule ! Je l'ai perdu de vue, mes parents ont réussi leur coup. Je me pose des tas de questions sur lui et ce qu'il est devenu, et il occupe les trois-quarts de mes pensées. En fait, il est quand même toujours un peu avec moi, quelque part dans un coin de ma tête. Ses grands mains toutes chaudes et ses lèvres, tout chez lui me manque ; il me manque, tout simplement. Mais je me fais pas de bile : je le retrouverai, mon grand frère. Y a une justice, quand même.
Anny Saorème
À DEFINIR
Jun Akatsuki
Il avait pas l'air commode au début, ce type. Mais en vrai, c'est juste un mec pas trop sociable avec un humour bien noir. Franchement, je pense que je pourrais être bien pote avec lui si on se connaissait plus. Mais j'vais pas le forcer ; il a dit qu'il repasserait à la boutique, je saurai pas quoi lui dire, mais c'est cool. De se part, en tous cas. Surtout après le tact dont j'ai fait preuve lors de notre première rencontre - je préférerai même oublier.
Mio S. Fujiwara
Alors cette histoire, c'est un truc de malade. Vous imaginez, vous rentrez de soirée, puis dans une ruelle pourrie vous tombez sur Mio Fujiwara, la nana des journaux, à moitié morte ? Bon, du coup, on n'a pas eu le temps de discuter et elle saura sûrement jamais qui je suis. Mais j'ai fait ma bonne action de l'année. En tous cas, c'était impressionnant ; sans le savoir, elle m'aura fait passer une drôle de fin de soirée. Comme quoi, la vie, c'est surprenant.
Ensuite, elle m'a retrouvé je ne sais comment. Elle est passée à la boutique, normal. J'peux vous dire que ça fait tout drôle d'avoir la cheffe Fujiwara au milieu de ses pétunias. Elle m'a proposé un super affaire, et m'a invitée à son mariage. C'était chelou. Mais un peu flatteur aussi. On dirait qu'elle m'est reconnaissante - elle m'impressionne trop pour que j'aille lui parler, en tous cas. on vient pas du même monde.
Narra Kaisa
On serait probablement pas devenues très potes, mais grâce à elle, j'ai pas paniqué face à la situation, parce qu'elle l'a un peu prise en main. Sûr je m'approcherai pas de trop près : elle et moi, physiquement, on est ennemies. Elle maîtrise le feu. J'irai pas lui chercher des embrouilles, elle a l'air d'avoir un tempérament assez explosif, et j'ai trop peur qu'elle se serve de moi pour allumer un feu de camp. En bref, ouais, si je pouvais ne jamais la recroiser, ce serait pas plus mal.
Oscar C. Eldredge
Lui. Oh putain, lui. Un sale gosse comme on en croise rarement. Rien que sa tronche me donne envie de lui en foutre une. J'me suis pas gênée, d'ailleurs, il a besoin d'une éducation, ce gamin. J'ai jamais vu ça. e sais pas ce qu'on fait ses parents, mais pas leur boulot en tous cas. J'attends juste d ele recroiser pour pouvoir encore le remettre à sa place, tiens.
Duvley Sisman
À DEFINIR
Gwendal Malenkov
Franchement, ce type a sauvé ma soirée. On était tous les deux invités au mariage Fujiwara, et on savait tous les deux pas ce qu'on foutait là. Je croyais que j'allais me faire chier comme un rat mort, et ç'a été le cas jusqu'à que je lui tombe - littéralement - dessus. On s'est raconté des blagues sales, j'ai craché mon champagne sur un gros, et on s'est enfuis avec une bouteille - un malin, ce gars, j'vous dis. Je me souviens pas bien de toute la soirée, juste que c'était cool. Je l'aime vraiment bien, c'est rare que je me sente à l'aise si vite avec quelqu'un. Malheureusement, on était bourrés et on a oublié de se donner nos numéros de téléphone, donc je suppose que je le reverrai jamais. Fait chier, le peu de gens biens que je croise se sent obligé de disparaître.
Sacha R. Madstolker
Bon. C'est là que j'ai l'air d'une pute, dans le sens le plus neutre du terme. Soit, il m'a proposé des sous pour faire semblant d'être sa copine. Soit, j'ai accepté. Mais bon, c'est tout bénef - je crois ? - si l'on omet le fait que je dois me farcir sa mère insupportable et son caractère de chien. Il est pire que moi, c'est dire. Je connais pas encore grand-chose de lui, mis à part le fait que je lui ai aussi foutu une baffe et qu'il a l'air aussi aimable qu'une porte de prison. Ca nous fait un point commun, remarquez. Le souci, c'est que je suis bloquée avec lui pour au moins quelques semaines. Et ça, ça craint.
