Nous avons tous déjà entendu parler de la légende du Triangle des Bermudes, mais que savons-nous sur ces mystérieuses disparitions ? Les Humains ne peuvent pas y répondre, nous habitants de l'Île du Cœur des Bermudes, nous le pouvons. Les pauvres voyageurs n'ont jamais pu franchir la barrière qui les séparent de notre monde. Comble de leur malheur, seuls les navires et autres objets matériels atteignent l'Île. Les voyageurs sombrant alors dans les profondes abysses de l'Océan. A l'heure d'aujourd'hui nous trouvons encore des manuscrits Humains que nous conservons soigneusement. Beaucoup de nos scientifiques se posent une même question : Avons-nous un lien de parenté avec cette espèce ? Les avis sont mitigés, certains prennent l'exemple des Mentalistes, ressemblant traits pour traits aux Humains et d'autres prennent pour exemple les Hybrides et les Nymphes ne pouvant pas descendre de la race Humaine.Lire la suite ?
Sujet: Un journal qui a pris du temps Sam 22 Oct - 23:10
CHARPENTIER
Je suis hybride d'un animal peu connu : le candiru. C'est un petit poisson qui se nourrit de sang. J'ai donc hérité de quelques-unes de ses caractéristiques : je possède des épines rétractables au niveau des bras, la peau très glissante, un amour inconditionnel de l'eau douce - et une véritable aversion pour l'eau de mer - un odorat sur-développé ainsi que d'incroyables capacités en apnée. Malheureusement, je partage aussi son régime alimentaire, ce qui me rend la vie en société un peu difficile.
Identité
NOM – McNair PRENOMS – Sharif Joseph SURNOM – Alors là... Le Vampire de Daunae, je suppose que ça compte pas. Mais c'est sous ce nom que la plupart des gens me connait. ÂGE – 23 ans ESPECE – Hybride QUELQUES TRAITS DE CARACTERE – Lascif - Tranquille - Stoïque d'apparence - Léger - Optimiste - Instinctif - (trop) Collant - Coquet - Affamé RESIDENCE – Quartier Ouest TAILLE – 1m80 POIDS – 70 kg ANNIVERSAIRE – 16 octobre || Balance CHEVEUX – Violets YEUX – Dorés SIGNES DISTINCTIFS – Il parait que j'ai le geste lent. Vraiment lent.
Sujet: Re: Un journal qui a pris du temps Sam 22 Oct - 23:11
Mikhaïl M. Malenkov
Alors, ce gars-là, je ne risque pas de l'oublier. On s'est croisés alors que je prenais un petit bain dans la forêt ; il se trouve que j'ai recueilli ce qui s'est avéré être sa tortue de compagnie. Nous avons pu ensuite discuter un peu. Un véritable original, on ne croise pas tous les jours des personnages pareils - je le soupçonne d'avoir quelques soucis, mais ce n'est pas comme si je trouvais ça dérangeant. Il parle un peu trop et trop vite, mais au final, c'est assez drôle à observer. Je lui ai donné mon numéro de téléphone, il avait l'air d'avoir envie qu'on se revoie. Il faut dire, ce serait avec plaisir, je serais curieux de découvrir un peu mieux ce gars étrange.
Abigail C. O'neill
Abigail est ma nièce de presque dix ans plus vieille que moi. Je l'adore tout simplement, je trouve sa vie passionnante, j'adore l'entendre me la raconter et elle le sait. On se voit très souvent, et on se dit à peu près tout, si ce n'est plus. Je suis tellement soulagé qu'elle ne m'en veuille pas pour l'incident. C'est une nana intelligente, je vous le dis. Pas tout le monde n'aurait pris aussi bien une tentative de faire de soi son repas. Je m'en veux encore un peu, même si je ne l'ai pas vraiment fait exprès. J'aurais pu m'attaquer à n'importe qui, mais pas à elle. Enfin, je ferai en sorte de me racheter ; qu'elle me demande n'importe quoi, je ne broncherais pas.
Erwan Krisvanser
Ouh, Erwan. Le sujet est épineux. Enfin, pas pour moi, je vis bien nos petites aventures en prison. Lui un peu moins. Il faut dire qu'il est plutôt bel homme, alors j'ai tenté ma chance. J'ai bien vu que le coeur n'y était pas, mais il n'avait qu'à dire non. Je n'allais pas cracher sur de la si bonne marchandise alors que cela faisait plus d'un an que je croupissais seul en prison, question de bon sens. Puis ce n'était pas sérieux ; je n'ai rien contre lui, mais rien non plus pour lui. On se connait à peine et il est muet, ça complique tout de suite les choses. Mais il n'a pas l'air de bien réussir à comprendre qu'il n'y a pas de quoi nourrir un quelconque malaise entre nous. Il y en a, ce qu'ils peuvent être prudes. Je trouve cela plus amusant qu'autre chose, mais je le plains, ça ne doit pas être facile à vivre tous les jours. En attendant, nous avons eu la chance de nous recroiser, par un drôle de hasard, juste chez lui. Il avait l'air ravi !
Ivnir Lègwajïg
C'est une longue histoire, avec Ivnir. Il était professeur bénévole en prison, du temps où j'y étais, et c'est comme ça qu'on s'est connus. Je ne suis pas du genre timide, sous mes apparences un peu flegmatiques, et comme il m'avait l'air sympathique et que j'avais besoin de compagnie, j'ai engagé le dialogue. De fil en aiguille, nous sommes devenus bon amis. Et je ne le regrette absolument pas, c'est l'une des personnes les plus apaisantes que j'ai jamais connu. C'est un type en or, en concentré de douceur et de loufoquerie, et probablement l'un de mes amis les plus proches. Je l'admets, je n'en ai pas beaucoup - ils me sont donc d'autant plus précieux. Ce n'est pas mon genre, mais je mentirais si je disais que j'étais insensible à son charme. J'ai cependant trop de respect pour son ancien mari pour m'approcher de lui ; nous resterons amis, et c'est très bien comme ça. Je saurai m'en satisfaire, croyez-moi. À longueur de journée, mes appétits me soumettent à plus de frustration que ça.