Heberger image

Bienvenue !

Nous avons tous déjà entendu parler de la légende du Triangle des Bermudes, mais que savons-nous sur ces mystérieuses disparitions ? Les Humains ne peuvent pas y répondre, nous habitants de l'Île du Cœur des Bermudes, nous le pouvons. Les pauvres voyageurs n'ont jamais pu franchir la barrière qui les séparent de notre monde. Comble de leur malheur, seuls les navires et autres objets matériels atteignent l'Île. Les voyageurs sombrant alors dans les profondes abysses de l'Océan. A l'heure d'aujourd'hui nous trouvons encore des manuscrits Humains que nous conservons soigneusement. Beaucoup de nos scientifiques se posent une même question : Avons-nous un lien de parenté avec cette espèce ? Les avis sont mitigés, certains prennent l'exemple des Mentalistes, ressemblant traits pour traits aux Humains et d'autres prennent pour exemple les Hybrides et les Nymphes ne pouvant pas descendre de la race Humaine.Lire la suite ?


Liens Utiles
RèglementAnnexesBottin PartenariatsTumblr


Processus
Les cerveaux.
4 Eleves ▲ 0 Pts ▲ 2 Clefs

Passion
Les curieux.
7 Eleves ▲ 0 Pts ▲ 3 Clefs

Liberté
Les sportifs.
3 Eleves ▲ 0 Pts ▲ 7 Clefs

Evasion
Les artistes.
6 Eleves ▲ 0 Pts ▲ 2 Clef

Origine
Les glandeurs.
5 Eleves ▲ 0 Pts ▲ 5 Clefs

Le Personnel
Les tyrans.
10 Employés ▲ Hors Classement ▲ 4 Jokers

Citoyens
Le peuple bermudien.
9 Citoyens ▲ Hors Classement


Le Staff
 
Eirin Keiko
Modo ▲ MP
 
Charly May
Modo ▲ MP
 
 
Sekai Yoki
Modo ▲ MP
 


Membre du Trimestre


Top Sites


Partenaires


LE COEUR DES BERMUDES



 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexionRechercher
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
MessageSujet: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyMer 14 Sep - 20:56

AGE ? 23 ans
ESPECE ? Hybride
ORIENTATION SEXUELLE ? Les femmes ne lui font strictement aucun effet.
OCCUPATION ? Charpentier, et tout à fait satisfait.
ANNEE ? //
? CLASSE //
POUVOIR ? Sharif est hybride Candiru, un petit poisson d'eau douce.

TAILLE ? 1m80 tout rond
POIDS ? 70 kilos
COULEUR DES CHEVEUX ? Un violet presque pourpre dont il est très fier.
COULEUR DES YEUX ? Dorés. Faut dire, ça ressort très bien sur sa peau sombre.
SIGNES PARTICULIERS ? Les bras et les mains de Sharif sont recouverts d'épines qu'il préfère garder rétractées, en règle générale. Elles sont bien plus résistantes qu'elles n'en ont l'air. Sa peau est particulièrement glissante. Aussi, ses capacités en apnée peuvent se révéler tout à fait surprenantes.


ft. Prince Soma Asman Kadar de Kuroshitsuji
McNair Sharif Joseph
Sharif appartient au monde de l'eau.
Sharif est silencieux.
Il écoute. Il guette. En bon carnivore, il traque un peu. C'est comme s'il entendait votre sang pulser contre votre peau. Le sang, il adore ça, c'est sa nature hybride qui le veut. Nul besoin de reculer face à lui ; c'est un être civilisé, son besoin d'hémoglobine est bien le premier qu'il a appris à maîtriser. Mais enfin, il serait cruel de trop le tenter - céder à la tentation, ça a un quelque chose d'excitant dont il raffole particulièrement.
Il est si calme que cela peut parfois en  être troublant. Tout semble lui glisser sur la peau, lui passer par dessus la tête. Ce n'est ni parce qu'elle est dans les nuages ou qu'il ne comprend pas ce qu'il se passe : simplement, tout se passe en interne. Et si là-dedans, ça peut être plutôt virulent, son corps ne le trahirait pour rien au monde. C'est qu'il a appris à vivre en totale harmonie avec, depuis le temps.
Mais ce ne sont que des certitudes. Elles ne signifient rien, au final.

Sharif est un être profondément lascif. Ses gestes lents, son regard lourd, on le croirait vivre dans une dimension tout juste parallèle, où les secondes s'étirent. Juste un peu plus. Mais cela constitue aussi une grande partie de son charme. D'ailleurs, peut-être qu'il le doit aussi à sa partie animale, mais il est insistant. S'il veut, il fait tout pour avoir. Il n'est pas dit qu'il demande la permission, par ailleurs. Et gare ; une fois qu'on a cédé, c'est trop tard. Quiconque a quelques peu connu Sharif sait qu'il n'est pas simple de s'en débarrasser.
Sharif adore la compagnie des gens. À sa manière, il montre son affection. Un  vrai pot de colle, oui. Pas de débordements incroyables, pas d'hystérie : encore une fois, il fait tout dans la lenteur et le calme. Il n'empêche qu'il le fait. Il aime rendre service, donner de sa personne - libre à chacun d'interpréter cela comme il le veut - et ne tire pas meilleure satisfaction que du travail accompli de ses mains. C'est qu'il aime bien s'attribuer un certain mérite, l'une des seules vanités qu'il s'autorise sans remords.

Une dernière chose ; et pas des moindres. Sharif accorde énormément d'importance à l'apparence. La sienne, celle des autres, il ne fait pas de différence. Il est tout simplement, primordial pour lui d'être plaisant à l'oeil. Voire plus. C'est une autre affaire.
25 octobre 2007
Une nouvelle attaque du Vampire signalée ; le point sur l'enquête.

Assis par terre, le garçon tenait le journal entre ses mains. Ses traits avaient encore ces quelques douceurs de l'enfance, auxquelles la peur donnait un arrière-goût des plus amers. Il ne pouvait détacher les yeux de la Une du jour.

Le Vampire, c'était lui.

C'était la troisième fois que les journaux parlaient de lui. Il avait d'abord songé à se dénoncer à la police. Puis il avait repensé à tout le plaisir, l'excitation, le frisson incroyable qu'il avait ressenti. Alors il avait recommencé, soumis à des pulsions animales et répugnantes.
Enfin, c'était ce dont il essayait de se convaincre. Il n'arrivait pas à s'en dégoûter. Il aimait ça. Il n'osait pas en parler. Comment le regarderait-on, s'il demandait des verres de sang à boire ? Que penseraient ses parents, sa soeur ? Il ne pouvait pas lutter. Le sang l'obsédait. Il en sentait l'odeur dès qu'un autre être vivant se tenait à proximité de lui. Globules et plaquettes l'appelaient, réveillaient son appétit et lui mettaient l'eau à la bouche. Que pouvait-on lui reprocher ? Il était un pauvre enfant, esclave de l'animal en lui. C'est misérable, un candiru, c'est tout petit et ça mange peu. Mais lui n'était pas du même gabarit ; les dégâts causés par ses besoins n'étaient pas comparables.

Sharif avait besoin de manger ; avec pour seul raccourci vers la satiété, les veines des passants.

4 décembre 2007
Cinquième attaque identifiée ; de nouvelles pistes sont données.

Sharif se rongeait les sangs. Ce n'était plus qu'un question de temps, maintenant. L'affaire allait remonter à lui. Il en avait gagné, après tout, parce qu'il était malin : ses victimes ne l'avaient jamais vu. Qu'allait-il se passer, pour lui, quand on l'aurait attrapé ? Après tout, il n'avait tué personne. Juste pioché un peu de leur corps. Est-ce que les jurés comprendraient au tribunal ? Ils ne savaient pas ce que c'était, la faim, eux qui se rassasiaient de tout. Si n'importe quelle denrée, à l'instar de tout autre bermudien, lui remplissait l'estomac et faisait vivre son corps, il n'y en avait qu'une qui comblait le creux qui lui trouait les viscères.
Et elle battait dans les veines de ses concitoyens. Désinvolte, tentatrice. Il était jeune, lui, pourtant déjà tout grand du haut de ses quinze ans. Il ne savait pas comment il avait pu ne pas se faire prendre, pas plus intelligent qu'un autre qu'il était. Mais le voici toujours en liberté ; c'est qu'il devait être doué. Non pas qu'il se sentait fier de ce triomphe.

Depuis combien de temps ? Quand cela avait-il commencé ?
Allongé sur le sol de sa chambre, la joue contre la pierre froide, il se posait ces questions. C'était bête. Il aurait dû le savoir, y revenir ; cette première fois-là ne prenait même pas la peine de le hanter. Il suffisait néanmoins d'y réfléchir un instant pour qu'elle reparaisse.

D'aussi loin qu'il se souvenait, il aimait les gens. Il avait toujours été très tactile, il adorait l'odeur qu'ils dégageaient - sentir le battement des veines sous la peau.
La première fois - la toute première fois - que c'était arrivé, Sharif avait 5 ans. À cinq ans, on ne sait pas ce qu'on fait. On connaissait son espèce, mais les détails restaient flous. On s'interrogeait sur les épines qui poussaient sur son corps, sur sa peau à la texture inhabituelle. Le petit semblait particulièrement apprécier les baignades en eau claire et hurlait quand on lui trempait les pieds dans la mer. C'était curieux, mais on avait confiance : tôt ou tard, le mystère serait levé.

Comme tous les enfants de son âge, il débutait l'école et découvrait les plaisirs de la vie en société. On chahute, on discute de sujets d'enfants, on court, on trébuche. Tout s'était passé très vite. Puis, un genou écorché, c'est tout sauf rare dans ce contexte. Ce qui peut paraître moins usuel, c'est de voir le petit McNair qui se rue sur son camarade, tout hirsute et sauvage, pour venir s'accrocher à sa blessure.
Ses parents avaient été convoqués, et on avait vite relevé le souci : ce pauvre gosse devait souffrir de sa nature hybride. Comme il était petit et qu'aucun mal n'avait été fait, il n'y eut pas de suites à cette affaire. Ce qui froissa un peu plus la direction, ce fut quand le garçonnet compris comment satisfaire ses instincts primaires. Ses camarades ne tombaient plus accidentellement dans la cour de récréation, et l'on venait souvent se plaindre de griffures. C'est ainsi qu'à l'âge de six ans et demi, Sharif connu son premier renvoi après avoir attaqué son voisin de classe aux ciseaux. Jeune et sans aucune autre intention de se nourrir, la victime ne s'en était sortie qu'avec une gentille cicatrice sur l'épaule.

Le jeune hybride se vit tout de même interdit de lames et étroitement surveillé par ses parents. On lui trouva bien sûr très vite une nouvelle école, où un suivi particulier fut mis en place pour l'aider à contrôler ses pulsions. Tout était rentré dans l'ordre.


Sharif eut un vague sourire. C'était drôle, la vie, tout de même. Le voilà à reproduire les mêmes erreurs qu'à l'aube de ses jours. Mais cette fois-ci, on ne lui accorderait pas le même crédit. S'il avait auparavant été considéré comme une victime de lui-même, avec l'âge, il devenait un agresseur, un individu notoire. Dangereux. Il se demandait s'il valait mieux mettre fin à cette folie ou en profiter un maximum puisque, de toute façon, il serait puni.

23 janvier 2008 ; Les recherches continuent. 2 nouvelles attaques présumées depuis le mois dernier.

Sharif était souvent le premier levé, depuis quelques temps. Il posa le journal sur la table. Il aurait pensé passer la nouvelle année derrière les barreaux, mais il était toujours là, flânant tranquillement dans son salon. En apparence du moins, car son éternel calme lui permettait de mieux cacher la culpabilité qui le tiraillait. La situation devenait pour lui insoutenable. Il avait peur, et chaque fois qu'il entendait ses parents se demander comment des malades pareils pouvaient exister, une pointe lui traversait le coeur. Ils ne pouvaient pas comprendre, eux non plus. Ils ne l'avaient pas soupçonné un seconde ; peut-être y avait-il derrière ça une forme de déni. Tant mieux. Il n'aurait pas pu soutenir les regards accusateurs.

Cela faisait trois jours qu'il n'avait pas "chassé". Son ventre avait eu le temps de se creuser à nouveau. Plus on mangeait, plus la sensation de faim se faisait insupportable. Mais il ne pouvait ni s'attaquer à n'importe qui, ni n'importe comment.

- Déjà levé ?

Sharif eut un sursaut. Un coup d'oeil derrière son épaule mit au jour Abigail, sa nièce de cinq ans plus vieille que lui. Elle était venue passer quelques jours ici. Ils échangèrent quelques banalités, comme on le fait en famille au matin. Mais Sharif était ailleurs.
Il ne cessait de se dire qu'il avait terriblement faim.

26 janvier 2008 ; Affaire du Vampire : interview exclusive des enquêteurs page 22.

Non, décidément, il n'avait ni sommeil, ni le courage de lire cette fameuse interview sans un verre d'eau. Les planches du parquet, dans le couloir, craquèrent sous son poids.

- Oh, Abi, c'est toi ?

Elle était dans le salon à cette heure-ci ? Qu'est-ce qu'elle pouvait bien y faire ? La surprise passée, il se reprit. Ce n'était pas si important que ça. Il expliqua son intense besoin de boire, et passa à côté d'elle, seul chemin vers l'évier.
Oh grand dieu. Il marqua un arrêt.
Cette odeur...

- Quelle cruche, je me suis coupée en... ça va pas ?

L'expression du visage de Sharif était plus proche de l'horreur que de l'inquiétude. Il sentit tous ses sens entrer en effervescence, son coeur cogner fort contre sa poitrine et la salive inonder sa bouche. Résister. Fuir. Il ne pouvait pas s'en prendre à sa famille pour des histoires d'appétits morbides.

Un cri déchira le voile de la nuit.

Tout se passa très vite. Sharif était déjà bien costaud pour son âge, et il eut l'avantage de la surprise. Il était comme guidé par un instinct avide, sauvage, mystérieux. Il n'y avait, sur sa misérable coupure, pas de quoi le sustenter. Il avait alors attrapé le couteau qui traînait encore sur la table. Il savait où faire les incisions. Mais Abigail avait des réflexes : elle parvint à contrer sa première attaque. Leur altercation dura deux, trois, peut-être même cinq minutes. Puis quand il se retrouva par dessus elle qui lui bloquait les poignets, leurs yeux fous se livrant une bataille silencieuse, il fut parcouru d'un spasme étrange.
Sharif lâcha le couteau et fondit en larmes.

- Abi ! Je t'en supplie Abi, aide-moi, j'en peux plus !

La stupeur passée, elle le prit dans ses bras comme une mère.

29 janvier 2008 ; Le Vampire enfin attrapé.

Retournement de situation dans l'affaire du Vampire. Hier, 28 janvier, un jeune homme est venu se présenter au poste de police. Sharif Joseph McNair, 15 ans, avoue être le criminel recherché depuis  quatre mois maintenant par les autorités locales. Au départ soupçonné d'être un canular de goût douteux, il s'est avéré, après interrogatoire, que son discours ne manquait pas de crédibilité. Identifié comme le véritable coupable, il sera jugé au cours de l'année. Suite en page 14.

Paradoxalement, Sharif se sentait libéré. Il était, en attendant le procès, assigné à résidence. Ses parents n'avaient pas eu la réaction qu'il craignait : ils avaient compris. Enfin, relativement. Il voyait bien l'incrédulité, une forme de méfiance dans leurs gestes, leur attitude. Mais ce n'était pas grave. Ils voulaient bien encore de lui sous leur toit, c'était déjà beaucoup. Quand au reste du monde, eh bien... ce ne serait pas aussi simple. Mais on finirait par l'oublier. Du moins, il l'espérait.

10 mars 2008 : Suite et fin de l'affaire du Vampire de Daunae.

[...] Le verdict a enfin été rendu : à sa majorité, Sharif McNair, 15 ans, écopera de deux ans de prison ferme, et trois de sursis. En attendant, il a été décidé que le jeune criminel serait soumis à une importante surveillance. Son jeune âge et sa qualité d'hybride ayant été pris en compte en tant que circonstances atténuantes, toutes les autres charges à son encontre ont été abandonnées. Un choix discutable ?

Sharif avait craint l'idée d'aller en prison. Mais il lui restait trois ans. Trois ans, c'était long. Il y aurait peut-être du changement d'ici-là. On tenta de le réintégrer dans un cursus scolaire normal, mais le contact avec les autres élèves était trop compliqué. Comme l'affaire avait pris sa petite importance, on connaissait son visage, on savait ce qu'il avait fait. Et les gens ne pardonnent pas.

Il prit donc des cours par correspondance jusqu'à la fin de son collège. Ensuite, on l'envoya en dehors de la ville, là où l'affaire avait fait moins de bruit, pour débuter l'apprentissage d'un métier qui ne nécessiterait pas d'études supérieures - il ne voulait pas perdre de temps, puisque de toute façon, sa peine ne voyait pas de révision et qu'il passerait tout de même deux ans derrière les barreaux. Une semaine et demie avant son inculpation, il obtenait son diplôme en charpenterie.

La prison fut un passage difficile, mais il avait eu le temps de s'y préparer. Comme il n'était pas trop maigrelet et qu'il savait faire bonne figure - comme on le fait dans de tels environnements-, on ne l'avait pas trop ennuyé. Les deux ans passèrent d'une lenteur cuisante, mais enfin, ils passèrent. Puis il avait le soutien de sa famille, plus ou moins au rendez-vous.

Néanmoins, si son séjour à l'ombre ne lui coupa pas l'appétit, il suffit au moins à lui donner la volonté de ne pas y céder - pas sans l'accord de la personne en face de lui.
Déjà trois ans qu'il était en liberté, et il était fou de joie, chaque matin, de se lever et pouvoir respirer l'air frais du dehors.

PSEUDO ? Vous devez vous en souvenir à force ouo
AGE ? 17. BIM. JE SUIS DEVENUE GRANDE. Evedit : Dans 4 jours seulement 8D
PAYS ? Polonie4ever
CODE ? J'te le valide meuf, parce que j'suis coul
D'OU VENEZ VOUS ? ? J'ai oublié le nom de ma planète ouo'
AUTRE CHOSE ? ? AUTRE QUOI ?
COULEUR : Aquamarine
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyMer 14 Sep - 21:10

FSDFGj.

J'aime. Légume. Candiru. Amour. Sang. Passion. Perfection. Charpenterie. Joseph.♥
Kristal Z. Lya
Kristal Z. Lya
I ▲ Médecin
Messages : 422
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyMer 14 Sep - 23:33

Omg. Merci. Stalkri. Luv. U. Ihjksdxfdoc. Tmtc. *w*
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyJeu 15 Sep - 13:59

fall in love de ton perso, oh my grdoxshnngfèy
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyJeu 15 Sep - 18:23

Merci beaucoup à toi aussi Iso *w*
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif EmptyJeu 15 Sep - 19:18





BIENVENUE A BORD ▬ Ah ce Sharif, on l'attendait ma vieille ! En tout cas, c'est un bijou. Et il ressemble tellement à Abi *^*
J'espère que tu pourras t'éclater pendant 3o ans avec lui wesh ! 


Bravo pour ta Validation !

Mais avant de te lancer à corps perdu dans la vie tumultueuse qu'est la vie d'un Bermudien, il te reste deux-trois trucs à faire.

Premièrement, nous n'aimerions pas (toi non plus j'imagine) que tu retrouves sans toit et sois obligé de vivre dehors, dans le froid, le vent, la pluie, les ouragans toussa. Pour éviter cela, viens voir les propositions d'habitation ici et envoie moi un MP pour me le dire.

Il te faudra aussi remplir une fiche de suivi, qui te servira par ailleurs de fiche de lien. Tu pourras faire cela en suivant ce lien. N'hésites pas non plus à spammer (gentiment hein) les fiches de liens des autres membres, avoir des amis c'est cool !

Maintenant, si tu as envie de trouver un partenaire pour ton premier RP, tu peux faire une demande ici, tu trouveras sûrement quelqu'un ! N'oublies pas non plus de vérifier les demandes sans réponses, tu pourrai y trouver ton bonheur. Rien ne t'empêche cependant, si tu as déjà quelqu'un en tête, de procéder par MP, ou de lui demander sur la CB.

En parlant de la CB, si tu n'as toujours pas sauté le pas, tu peux nous rejoindre ici, c'est très sympa comme endroit, et on mange pas les gens vivants ça va. Sinon, y'a toujours le flood et les jeux, mais faut pas en abuser et oublier de RP, hein ;).

Bien sûr si tu as des questions, n'hésites pas à joindre me joindre, ici.

Bien ! Tu es fin prêt à te joindre à l'aventure !
Encore une fois bienvenue et bon jeu à toi !
Au plaisir de te croiser inrp.

Eva.
Anonymous
Invité
Invité
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif Empty

Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Et, des pieds jusques à la tête ; un air subtil, un dangereux parfum ; nagent autour de son corps brun || Sharif
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Les rêves ce n'est pas dangereux hein ? [Narra/Pandore]
» « Veux-tu donc être à mes pieds ? » Journal de Alyssia.
» La tête dans les étoiles .::Alexander Davidson::.
» Sciron Eolis la tête dans les nuages
» Rencontre autour d'un verre [Light/Yamina/Narra]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Cœur des Bermudes  :: 
HORS RP
 :: Poubelle :: les présentations
-
Sauter vers: